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DESSINDEPRESSE.COM
Le site d'Aster, dessinateur humoristique pour la presse d'entreprise


Le dessin et la caricature dans la presse
au travers d'une étude du
Rôle social et de la fonction journalistique des dessinateurs dans la presse quotidienne nationale en Communauté française de Belgique.


Mémoire de fin d'étude de Jean-Philippe Legrand, alias dessinateur Aster
,
présenté en vue de l'obtention du grade de Licencié en Information et Communication présenté à l'Université de Liège en 1998.

Historique de la caricature
La profession de dessinateur
Les dessinateurs dans la presse belge
Utilité et fonction



INTRODUCTION


Qui se souvient aujourd'hui de Jacques Ochs, de Serge Creuz, ou même d'Alidor, décédé en 1995 après avoir assuré pendant plus de quarante ans l'illustration de Pan et lancé Père Ubu? Qui se rappelle que le premier, peintre portraitiste, célèbre pour ses reportages dessinés (du procès de Landru) et ses caricatures au feu Pourquoi pas? fut arrêté pour avoir dessiné Hitler, et condamné à mort en 1944? Quant à Serge Creuz, disparu il y a un peu plus de deux ans, on peut espérer que ses étudiants de La Cambre perpétueront sa mémoire de peintre, dessinateur et scénographe… avec moins de retenue que ce présent hommage, trop bref.
La caricature, en Wallonie, est méconnue. Est-ce dû à la discrétion de leurs auteurs ou à un réel manque de talents? Par rapport à Daumier, Philipon, Caran d'Ache et bien d'autres qui suscitent parfois de vagues réminiscences, les trois Belges cités ci-dessus font figure de parfaits inconnus. Combien sont les lecteurs belges qui connaissent Reiser, Cabu, Wolinski, etc. mais qui ignorent le nom du dessinateur de leur propre journal? Nous n'allons pas répondre à ce genre de questions, qui demanderaient une enquête à grande échelle, mais, simplement, nous détourner quelque peu de la France de Plantu, Faizant et les autres et nous intéresser un peu plus à Kroll, Royer et…quels autres?
Un pays comme le nôtre peut-il, à l'instar de son grand voisin, revendiquer un esprit frondeur et mettre en avant une longue tradition du persiflage ? Quelle place a été, et est, réservée au dessin par la presse écrite? Là où l'on est si fier de ses bandes dessinées, de son humour et peut-être même de son spleen, quelle importance accorde-t-on aujourd'hui au caricaturiste dans les différents quotidiens nationaux de la Communauté française? Afin de dresser cet état de la question, nous allons procéder à une radioscopie de la profession telle qu'elle fut entre le 1er octobre 1997 et le 31 mars 1998. Sans toutefois nous attarder sur des analyses de type sémiologique, nous procéderons au suivi des dessins parus dans les trois titres principaux durant cette période ainsi qu'à des interviews de leurs auteurs.
A partir de nos constats, qu'est-ce qui est susceptible d'augmenter cette présence de la caricature dans l'information? Autrement dit, quel rôle le dessinateur exerce-t-il (ou peut-il espérer exercer) au niveau de sa contribution au journal mais aussi au niveau de la société, laquelle ne se limite pas au lectorat mais à l'ensemble des personnes exposées à des dessins? Répondre à toutes ces questions, c'est aussi rencontrer certains obstacles. Le premier d'entre eux étant de préciser les contours de cette profession, de cette activité, de cette passion…

 

Un statut ambigu, une fonction paradoxale, des données floues.


Tout d'abord, ainsi qu'il a été dit et redit, l'art de la caricature lui-même est paradoxal. D'une part, la caricature (au sens restreint) comme genre artistique est née en pleine période du classicisme et, plus précisément, de l'académisme pictural dont les frères Carrache (Ludovico et Agostino) (1) étaient les instigateurs. D'autre part, son principe consiste à rendre "plus vrai" par la déformation, l'exagération. De surcroît, la caricature enlaidit, au contraire des autres domaines artistiques où domine la recherche du "Beau", mais se nourrit de la perfection esthétique par le fait même de s'en écarter. Ensuite, leurs auteurs eux-mêmes intègrent deux profils a priori peu compatibles: celui de l'artiste, appelé à la dérision, l'exubérance, la simplification outrancière, l'engagement, voire la mauvaise foi, et du journaliste à qui l'on recommande le sérieux, la rigueur, la nuance, la retenue, l'objectivité. Enfin, comme nous l'avons laissé entendre dans l'avant-propos, il est à la fois le plus lu et le plus absent de la rédaction. En faisant référence à sa grande visibilité par rapport au peu de place que lui octroie la rédaction en son sein, Christian Sauvage (2) va même jusqu'à dire que "le dessinateur de presse a la meilleure place dans le journal et la plus mauvaise dans la rédaction" . Inévitablement, cette différence de visibilité ajoutée au fait que la caricature, en tant qu'illustration, parle généralement au plus grand nombre, se reproduit au niveau de la notoriété. Ainsi, ce collaborateur quelque peu "marginal" , qui exécute parfois ses dessins avec plus de rapidité, de liberté et de franchise, est aussi le plus connu et le plus apprécié des lecteurs.
A ces paradoxes et à cette ambiguïté de statut s'ajoutent certaines caractéristiques quelque peu "mythiques" de l'artiste-humoriste. Dans nombre de catalogues d'expositions, recueils de dessins et ouvrages de vulgarisation, le dessinateur de presse est décrit comme libre penseur, indépendant, doté d'un graphisme et d'une notoriété à toute épreuve, ne craignant rien ni personne, à l'exception de la Censure, elle-même mythique. Puis en fin de compte, ce véritable redresseur de torts, dont on loue inlassablement l'acrimonie toute empreinte de dérision, serait aussi un être particulièrement sensible, seul, triste... Bref, le langage simplifié, métaphorique et euphorisant fait florès dans le domaine du dessin de presse!
Il était donc capital de compléter nos informations livresques, principalement des ouvrages français, par des entretiens dirigés avec nos dessinateurs. Adressées aux principaux représentants du dessin de presse dans la presse nationale, régionale, hebdomadaire et satirique, une quarantaine de questions ouvertes nous ont permis de combler, mais aussi de "corriger", le cadre théorique d'étude esquissé à partir des lectures. Ces entrevues nous ont aussi permis de tester la pertinence de ces clichés formulés sur les dessinateurs de presse et de saisir quelques éléments spécifiquement belges. Nous avons également pris contact avec les rédacteurs en chef des organes de presse étudié afin de recouper certaines informations et voir s'il n'y avait pas lieu de nuancer les propos des dessinateurs. A l'exception de quelques menus détails, nous avons été étonnés par la "confluence des sources", ce qui a également infirmé des situations décrites dans certains ouvrages.

 

Précisions terminologiques


Comme son nom l'indique, un dessin de presse est une image dessinée qui paraît dans un ouvrage imprimé (journal, livre,…). Il n'acquiert donc ce statut qu'après publication et diffusion, son sens n'étant vraiment perceptible qu'au travers d'un texte ou de tout autre compte rendu d 'actualité. Ainsi, si les premières caricatures reproductibles (par gravure sur bois) remontent au tout début du XVème siècle, les procédés techniques ne permettent leur adjonction au texte que vers 1830, en France. Avec André Baur (3), l'un des quelques spécialistes de la question, nous pourrions dégager plusieurs sous-ensembles dans le dessin de presse: les dessins d'illustration (dont le but est de représenter ce dont le texte parle), les portraits et les caricatures (qui évoquent des personnes ou des situations), les publicités (qui comportent souvent une partie graphique) et les dessins didactiques (graphiques, schémas, et cartes, réalisés ou non par infographie). Pour d'autres auteurs ainsi que pour une bonne partie des lecteurs, le dessin de presse englobe les bandes dessinées, les comic strips (bande dessinée en quelques cases ou "vignettes"), les jeux dessinés tels que les rébus, les labyrinthes, les jeux des sept erreurs, etc. que l'on trouve en fin de journal. De ces sous-ensembles, nous ne retiendrons que les deux premiers, avec une préférence pour la caricature qui évoque un dessin davantage spirituel, humoristique, critique. Nous excluons également de notre définition les illustrations qui font elles-mêmes l'objet d'un article (dans une rubrique consacrée à l'art par exemple) ou qui suppléent aux photographies pour les procès devant les tribunaux.
Toutefois, en ce qui concerne la caricature, il convient de rappeler ses deux acceptions. La caricature, au sens restreint du terme, est "le portrait en charge, qui utilise la déformation physique comme métaphore d'une idée (portrait politique) ou se limite à l'exagération des caractères physiques (portrait d'artiste) (4). C'est ainsi que l'entendent la plupart des artistes pour qui l'extension du sens apparaît parfois abusif et le terme "caricature" lui-même un peu suranné. Au sens le plus large et pour la plupart des gens, la "caricature" évoque davantage la représentation comique ou satirique d'une situation. La définition de Robert-Jones en esquisse le rôle: il s'agit de "tout dessin ayant pour but, soit de faire rire par la déformation, la disposition ou la manière dont est représenté le sujet, soit d'affirmer une opinion généralement d'ordre politique ou social, par l'accentuation ou la mise en évidence d'une des caractéristiques ou de l'un des éléments du sujet sans avoir pour ultime but de provoquer l'hilarité (5). Ce sens est tout à fait conforme à celui que nous attribuons au "dessin de presse" et, afin d'éviter trop de redondance de celui-ci, nous utiliserons largement le terme "caricature".
Par conséquent seront considérés comme équivalents les termes "dessinateur de presse" et "caricaturiste". Nous parlerons aussi en terme d'artiste, d'auteur, d'illustrateur et de "cartooniste". Le "cartoon" désigne, à l'origine, chacune des image constituant un dessin animé, aux Etats-Unis. Aujourd'hui, il fait référence à un dessin humoristique, "à l'américaine" (6), sans lien nécessaire avec l'actualité et pouvant être indépendant du journal. En pratique, il n'est qu'une appellation internationale, et donc plus "branchée", du traditionnel dessin d'humour. Ceci nous amène à évoquer les sous-genres (ou synonymes?) du dessin de presse que certains n'hésitent pas à qualifier de "fatras d'étiquettes barbares, impropres, inadaptées qui jettent la confusion dans les esprits" (7): dessin d'actualité, dessin politique, dessin d'humour, dessin de société, caricature de mœurs, dessin satirique… En effet, chaque façon de désigner le genre laisse sur sa faim…
Et comme s'accordent à le penser de nombreux auteurs, l'écheveau reste à démêler, en matière de définition, et se répercute sur les termes désignant les auteurs de dessins de presse. Or, il ressort de nos entretiens que, à quelques exceptions près, ceux-ci s'en soucient peu. Nous n'entrerons donc pas dans ce dédale terminologique. Néanmoins, puisqu'il va nous falloir traiter du caricaturiste en général, de façon abstraite, nous recommandons d'avoir à l'esprit un modèle du genre - et non le plus "dissident" - c'est-à-dire un auteur de dessins politiques humoristiques sur l'actualité et dépendant d'un journal particulier. Dans le même esprit, ne prenons pas le plus médiocre car tout ce qui va être dit s'avère falsifiable par l'exception: de "mauvais" dessins peuvent tout contredire.

Précisions méthodologiques

La première ambition de ce travail est de faire le point sur la place des dessinateurs de presse en Belgique francophone, puis - afin de montrer qu'on peut l'améliorer - de rechercher quelle est (ou pourrait être) son influence sur l'ensemble des lecteurs ainsi que son rôle dans le journal.
Notre première démarche a été de consulter divers ouvrages se rapportant au dessin de presse (études spécialisées, catalogues d'exposition, recueils de dessins, articles, mémoires, etc.), à son histoire, au journalisme en général et à la presse belge.
Ensuite, nous avons procédé, à partir du mois de septembre, à plusieurs interviews. Muni d'un premier questionnaire, nous avons d'abord rencontré deux dessinateurs liégeois (Cécile Bertrand et Emilio Licata), à la suite de quoi nous avons rédigé un second questionnaire, plus complet et plus pertinent. Equipés pour un travail plus détaillé, nous avons mené des interviews auprès d'une quinzaine d'autres dessinateurs (soit à la rédaction, soit dans leur atelier).
Une troisième démarche correspondait davantage à une "enquête de terrain", puisque nous avons rencontré les rédacteurs en chef du Soir, de La Libre Belgique, de La Dernière Heure et du Matin. Ce fut aussi l'occasion de consulter les archives (notamment au journal Pan) et de glaner, de façon moins formelle, les opinions de quelques journalistes (chefs d'édition ou de rubrique) sur les dessinateurs qu'ils côtoient régulièrement.
Parallèlement à cela, nous avons pris contact avec les différentes rédactions de la presse régionale afin de savoir dans quelle mesure elles ont recours à des caricaturistes. Aussi, nous avons collecté les dessins parus dans les titres nationaux, Le Vif-L'Express et Le Soir Illustré entre le 1er octobre 1997 et le 31 mars 1998 et "surveillé" ceux paraissant dans la presse régionale, satirique (surtout Pan) et dans divers périodiques dont quelques journaux français.
Nous sachant dotés d'une telle quantité de dessins, le lecteur s'étonnera de ne pas trouver dans ce mémoire d'analyse sémiologique. Or, cela n'a jamais fait partie de nos objectifs et ce, pour plusieurs raisons. Premièrement, nous souhaitons nous intéresser aux relations entre les dessinateurs et les journalistes, entre le monde du dessin de presse et le champ journalistique, non au dessins pour eux-mêmes. Deuxièmement, la plupart des travaux d'étudiants sont consacrés à ce type d'analyse, qui débute d'ailleurs toujours par un relevé des principaux procédés rhétoriques, et semble se désintéresser de la pratique effective du dessin de presse ainsi que de sa relation avec l'ensemble de la presse et la conjoncture. Nous ne sommes pas en train de nier la valeur de ces études, loin s'en faut, mais ce mémoire se présente davantage comme leur complément. Notre angle d'approche du dessin de presse est ici la personne même du caricaturiste. Troisièmement, les caricatures et l'humour qu'elles véhiculent ne nous paraissent pas plus mystérieux que le statut de leurs auteurs, leurs parcours respectifs, leurs méthodes de travail, etc. Il faut comprendre cela comme une conséquence de notre connaissance personnelle, relativement intuitive et fondée sur la pratique, de la caricature.
Par ailleurs, ce travail ne prétend pas reposer sur une démarche scientifique, classique et bien définie, que nous aurions emprunté à la sociologie, à la psychologie sociale, ou à la critique historique. Comme nous l'avons précisé, nous n'avons pas, à proprement parler, d'hypothèse de travail à vérifier, mais plutôt un ensemble de questions auxquelles nous allons tenter de répondre. Nous ambitionnons de décrire la condition du dessinateur de presse en Belgique francophone, ce qui, d'après nos recherches et au dire des dessinateurs rencontrés, n'a pas encore été réalisé. Nous n'hésiterons pas, bien entendu, à y intégrer nos analyses et nos critiques que nous souhaitons les plus pertinentes. Ainsi, au croisement de plusieurs disciplines, et reposant, entre autres, sur l'interview et l'enquête de terrain, notre méthode se rapproche davantage de celle du journaliste. Face à un problème, celui-ci collecte des informations, rencontre les intéressés, recoupe les témoignages, traite les données comme il se doit et en présente une synthèse argumentée. Et comme, en général, le journaliste apprécie que son travail ne soit pas vain, il y ajoute une analyse susceptible d'être prise en compte tout particulièrement par une sorte de destinataire fictif. Il s'agit ici de la partie IV qui se voudrait une démonstration de "l'utilité du caricaturiste", à l'adresse - pourquoi pas? - de tout responsable de publication.


Au programme:


Une étude des dessinateurs belges et de leur rôle ne pouvait se passer d'un rappel de ce que fut, naguère, la caricature (nous justifierons ultérieurement). Nous consacrerons donc une première partie à l'histoire de la caricature en Belgique, avec le passage "obligé" par la France. Il s'agira d'une approche relativement descriptive destinée à poser les grands jalons de l'évolution du genre. A côté de quelques sommités et titres mémorables de la presse écrite seront cités, à titre indicatif, plusieurs noms de dessinateurs et de journaux satiriques.
S'appuyant principalement sur les informations recueillies lors des entrevues, la deuxième partie de ce mémoire sera consacrée à "la personnalité" des dessinateurs de presse (belges) ainsi qu'à une description relativement détaillée de leur métier d'artisan, de la commande d'un dessin au courrier des lecteurs en passant par sa réalisation, sa publication, sa rémunération, etc. Dans une telle perspective, l'on comprend qu'une description, aussi précise soit-elle, des itinéraires personnels, des intérêts propres à chacun, des différences de style et de domaines d'expression,… se résumerait vite à une étude de cas particuliers. C'est pourquoi nous postulons l'existence d'un "dessinateur de presse type" que, par souci de se rapprocher le plus possible de l'expérience commune à chacun, nous situons dans la presse nationale quotidienne. Comme nous l'avons déjà précisé, celui-ci n'aurait pas vraiment de "spécialité", hormis la caricature politique humoristique sur des sujets d'actualité chaude.

Si une étude de certaines caractéristiques du tempérament et de la profession du caricaturiste "en général" peut être menée sans être à tout instant rapportée à des éléments externes, le compte-rendu des collaborations particulières de chaque dessinateur avec son journal n'est intelligible qu'au travers d'une analyse de la structure du système tout entier et de sa conjoncture. Tels seront donc les objets de la troisième partie consacrée au dessin de presse en Belgique: premièrement, un bilan de santé de la presse en Belgique francophone et l'incidence de la conjoncture sur la demande en dessins de presse; deuxièmement, l'étude des collaborations entre les journaux de la presse nationale (et régionale) et leurs dessinateurs.
Ce n'est pas anticiper que d'affirmer que le dessin de presse n'est pas au mieux de sa forme en Wallonie. Un coup d'œil au-delà des frontières (même linguistiques) suffit à s'en convaincre. Cependant, notre constat ne sera par entièrement négatif, et peut-être même dominé par un sentiment que le dessin de presse pourrait connaître un nouvel essor… Mais à cet espoir, nous souhaitons ajouter une certitude: le dessin de presse a bien une utilité et son auteur un rôle à jouer dans la société, une fonction à remplir dans le journal. C'est donc de l'utilité du dessinateur de presse dont il sera question dans la quatrième partie. Ce n'est certes pas cela qui rendra à la caricature belge ses lettres de noblesse. Ce dont elle a besoin n'est pas un long discours, mais de journaux preneurs et d'excellents dessins.

1) Annibale Carraci est considéré comme le précurseur de la caricature, de même que Léonard de Vinci. Ils sont pourtant de ceux qui on le plus concouru à idéaliser le portrait et à en fixer les règles
2) SAUVAGE, Christian, Journaliste: une passion, des métiers, éditions du CFPJ, Paris, 1988, p.83.
3) BAUR, André, Le dessin de presse, coll. "30 mots clés pour comprendre…", Ed.pemf, Mouans-Sartroux (France), 1997, pp. 42 et 43.
4) Selon Encyclopaedia Universalis 3.0 sur CD-Rom, 1995.
5) Cité par VAN YPERSELE, Laurence, in COURTOIS, Luc et PIROTTE, Jean (sous la direction de) Images de la Wallonie dans le dessin de presse (1910 - 1961), , éd. François Humblet, Louvain-la-Neuve, 1993, p.113
6) Nous reviendrons à l'influence américaine sur le dessin d'humour moderne, dans la partie I.
7) PIGEON, Jean, Cartoons. Wereldkartoenale Knokke-Heist 1961 - 1986. 25 ans d'humour graphique international, éd. Michel Oleffe, Bruxelles, 1985, p.35.

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Mémoire sur la caricature de presse : frontispice

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feutre noir : "Aster" - (Jean-Philippe Legrand) - Cartooniste/dessinateur freelance depuis1999, Licencié en Journalisme - Prestations internationales.
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